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dimanche 14 août 2016

TRANSE GAULE : étape 6 Saint-Georges-sur-Loire -> Doué-la-Fontaine = 52.767km, Dénivelé 410m

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étape 6 Saint-Georges-sur-Loire -> Doué-la-Fontaine
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étape 6 Saint-Georges-sur-Loire -> Doué-la-Fontaine






Doué-la-Fontaine est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Elle est un centre économique d'importance avec la présence de 370 entreprises, ainsi qu'un centre touristique grâce au parc zoologique de Doué-la-Fontaine, qui accueille plus de 200 000 visiteurs par an.


En 814 et 835, le territoire de la commune porte le nom de Thedoadus, Thedwat, Teutwadus et Theodwadum, puis Doadum en 847. Pour Albert Dauzat, le nom proviendrait d'un nom d'homme germanique Theudoad tandis que pour Ernest Nègre, il provient du nom d'homme latin Deodatus. On retrouve le lieu mentionné dans In villa Doadensi vers 980, Castrum Doadus vers 1050 et de castro Daodo vers 1055. On mentionne un Hugo de Doe vers 1060. Le nom évolue en Doe vers 1182, puis enDouetum vers 1392. En 1500, on mentionne Doué près Saumur.

Le mot doué proviendrait également d'une forme ancienne, douet, définissant un passage d'eau naturel ou anthropique. Dans leur « Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou », Verrier et Onillon mentionnent à la fois le termeDoue, aphérèse de douve, et le terme Douet pour désigner un lavoir. Dans le cas de Doué-la-Fontaine, le doué peut faire référence à la source de la commune connue dés l'antiquité.

Le nom de Doué-la-Fontaine a été adopté en 1893, il est devenu officiel par décret le 11 avril 1933

Depuis la promotion de la culture de la rose par Joseph François Foullon vers 1790, Doué-la-Fontaine est devenue la « capitale européenne de la rose ». Sur les douze millions de plants de rosiers produits chaque année en France, sept sont produits à Doué-la-Fontaine, en faisant également le premier centre européen de production. Entre 200 et 300 hectares de terres sont exploitées par les pépiniéristes douessins, produisant plus de 2 000 variétés de rosiers. Près de 30 entreprises rosiéristes sont présentes sur la commune

La nuit... :
Dormi jusqu'à 4 heures. Bon sommeil.

Le réveil (moralement-musculairement-fatigue-etc):
Un réveil avec l'angoisse de se lever en ayant encore plus mal qu'hier à ce pied gauche. Ou pire : d'avoir de nouvelles douleurs ailleurs...
Finalement, je ressent surtout cette tension sous la plante du pied gauche. Elle pourrait s'apparenter à une aponévrosite plantaire selon le kiné.
Le pied est gonflé à cet endroit précis.
Alors il est clair que cela de gonfle pas le moral. Mais je peux, pour l'instant, encore courir. Aujourd'hui, la douleur (supportable) m'a accompagnée jusqu'u 35ème environ puis s'est faite plus discrète jusqu'à la fin.
Sinon, je suis fatigué mais pas épuisé. 

La météo du jour :
Grand beau temps sur l'Anjou et les coteaux du Layon ! La chaleur s'impose de plus en plus et les jours qui viennent seront embrasés !
Dicton du jour :
"11 km/heures suffisent à mon bonheur."
Anecdote du jour :
Elle concernera uniquement le paysage traversé dès potron-minet. Nous avons passés la Loire ce matin et nous avons gravis et descendus les superbes paysages des coteaux du Layon. Simplement beau avec le lever du soleil !
Des nouvelles de mes compagnons :
Pas obligatoirement joyeuses...
Au moins 2 abandons ce jour. Toujours délicat ces instants là. Beaucoup d'investissements et un départ de la Transe Gaule après une semaine de course doivent donner un méchant goût d'amertume...
Le Classement de l'étape 


L'étape :
C'est avec une bonne dose d'angoisse que je démarre l'étape. David s'envole d'entrée. Les 10 premiers kilomètres sont constitués d'une descente et d'une portion plate.
Un "problème" s'installe de suite ; j'ai beaucoup trop déjeuner ce matin et je rame pour digérer. Passons sur les détails. Je n'apprécie donc pas particulièrement le lever du jour.
Mais heureusement, nous allons gravir les coteaux du Layon et la beauté du paysage va momentanément amoindrir les désagréments digestifs.
Nous allons sur 18km nous réjouir de la beauté du monde.
Rien que ça. Un peu de douceur dans ce monde de douleur : la tension au pied gauche est bien installée. Elle ne me fait pas souffrir mais elle me tient bien compagnie. Jusqu'au 35ème.
Et puis, elle va se faire de plus en plus discrète.
J'avais prévu de tourner doucement aujourd'hui. C'est ce que j'ai fait mais de toute façon je n'aurais pas été dans la possibilité d'hausser le rythme. Pas la pêche du tout. Alors on s'est contenté de faire avec les moyens du jour.
 Je termine second. Bien content d'en avoir finit. L'étape la plus courte jusqu'à maintenant mais aussi la plus pénible pour moi !
Le chant du cygne ?

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